Élevage

Philippe Loiseau salue les opposants aux élevages-usines

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Personnalité politique (1)

Communication officielle

Élevage intensif Nationale

Justification de la note

Positif mais préoccupation anecdotique pour les animaux

Nous avons eu la ferme des 1 000 vaches dans la Somme, celle des 1 000 veaux abattus hallal en Creuse, la ferme des 2 000 animaux en Touraine, des 20 000 poules en Picardie, des 12 000 porcs en Gironde, etc. (...) [Les] populations sont en réalité hostiles à ces fermes-usines car inquiètes des modes d’élevage de ces bêtes et des produits utilisés.
(extrait de l'intervention de Philippe Loiseau au Parlement européen)

Intervention de Philippe Loiseau au Parlement européen :

– Monsieur le Président, nous assistons en France à un phénomène lié aux négociations avec les États-Unis et le marché transatlantique. Nous connaissons en effet le développement des fermes usines, aux milliers d’animaux, soit pour le lait, soit pour la viande.

Nous avons eu la ferme des 1 000 vaches dans la Somme, celle des 1 000 veaux abattus hallal en Creuse, la ferme des 2 000 animaux en Touraine, des 20 000 poules en Picardie, des 12 000 porcs en Gironde, etc. C’est en fait le modèle des États-Unis des feed lots qui se répand avant même la signature du traité, ce qui n’augure rien de bon après la signature de celui-ci.

Vous devriez d’ailleurs vous inquiéter du fait que les populations sont en réalité hostiles à ces fermes usines car inquiètes des modes d’élevage de ces bêtes et des produits utilisés. Nos compatriotes, et de nombreux agriculteurs d’ailleurs, ont en effet poussé la grande distribution à boycotter le lait de cette ferme dite des 1 000 vaches.

Une fois encore, les peuples s’organisent contre les effets néfastes de vos politiques. Comme je l’ai déjà dit, les producteurs s’organisent eux aussi pour lutter contre la pression de la grande distribution.

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Crédits

Soumis par Thierry Lherm

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Attentes citoyennes

44%

des Français
estiment que le « bien-être » des animaux de ferme n'est pas assuré aujourd'hui en France

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84%

des Français
sont favorables à l’interdiction de l’élevage intensif

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