le 1 décembre 2020 -
Subvention
→ Nationale
Seulement 3 des 100 millions de la stratégie y sont alloués, alors que c'est un levier majeur pour lutter contre la souffrance animale, la déforestation importée et le dérèglement climatique
En raison de son histoire et de la mondialisation des échanges, la France n’est aujourd’hui pas assez autonome dans sa production de protéines végétales, qu’elles soient à destination de l’alimentation animale ou bien humaine. En effet, la France ne produit que la moitié des matières riches en protéines nécessaires à l’alimentation des animaux (tourteaux de soja, de colza ou de tournesol…).
(CP du ministère de l'Agriculture)
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