Élevage

Amendement 2 contre le relèvement du seuil d'autorisation des élevages bovins

Félicitez-le
Click & Tweet Click & Comment

Commentez directement sur sa page Facebook

Personnalité politique (1)

Amendement

Nationale

Cet amendement [...] maintient le niveau d'autorisation à ce qu'il est actuellement. (...) C’est le gage d’une alimentation, pour les animaux, basée sur le pâturage. Ce pâturage tournant qui est possible dans les petites et moyennes exploitations est plus compliqué ou impossible dans les grandes fermes. Il est important d’éviter un type d’élevage « hors-sol ».
(extrait de l'amendement)
amendement non soutenu

N° 2

AMENDEMENT

Non soutenu

présenté par M. Grosdidier

ARTICLE 8

Alinéa 2

Rédiger ainsi cet alinéa :

« Art. L. 515-27-1. – Les élevages de veaux de boucherie et de bovins à l’engraissement ne sont soumis à la procédure d’autorisation mentionnée à la section 1 du chapitre II du présent titre que lorsque les effectifs d’animaux susceptibles d’être présents sont supérieurs à 400. Pour les vaches laitières, cette même procédure d’autorisation ne doit intervenir que lorsque les effectifs d’animaux susceptibles d’être présents sont supérieurs à 200.

Objet

Cet amendement vise à préserver et favoriser les élevages à taille humaine. Il maintient le niveau d'autorisation à ce qu'il est actuellement.

Il est préférable d’avoir plusieurs unités qu’un seul gros ensemble. C’est le gage d’une alimentation, pour les animaux, basée sur le pâturage. Ce pâturage tournant qui est possible dans les petites et moyennes exploitations est plus compliqué ou impossible dans les grandes fermes. Il est important d’éviter un type d’élevage « hors-sol ».

La présence de grandes unités représente également un risque de désertification des campagnes en centralisant toute la production en une même zone géographique.

Lire la suite

Attentes citoyennes

86%

des Français
estiment que l'abattage sans étourdissement préalable est inacceptable quelles que soient les circonstances

Parcourir les sondages
44%

des Français
estiment que le « bien-être » des animaux de ferme n'est pas assuré aujourd'hui en France

Parcourir les sondages