Tant qu’il y aura des abattoirs, il y aura des champs de bataille.
Léon Tolstoï (1828-1910)
Plus d’un milliard d’animaux terrestres sont abattus en France chaque année, principalement à des fins alimentaires.
Les poussins savent compter jusqu'à cinq. Les moutons peuvent mémoriser plus de cinquante visages pendant au moins deux ans et y distinguer différentes émotions. Les vaches éprouvent de l'excitation et de la joie lorsqu’elles résolvent un problème. Les cochons se reconnaissent individuellement. Joueurs et dotés d’une excellente mémoire spatiale, ils apprécient les ballons de football ou certains jeux vidéos. 88% des Français considèrent que la protection des animaux d’élevage devrait être renforcée(Commission européenne, Eurobaromètre 2016). →Mieux connaître l’opinion publique
(amendements déclarés irrecevables) Le temps du débat sur la proposition de loi pour les animaux portée par le groupe Écologie Démocratie Solidarité a été tellement réduit par des manœuvres d’obstruction parlementaire, comme on pouvait malheureusement s’y attendre, que l'examen du texte, démarré à 22h, n'a permis de discuter que de deux amendements et n'a pas permis d'adopter un texte avant minuit.
(amendement déclaré irrecevable) Le temps du débat sur la proposition de loi pour les animaux portée par le groupe Écologie Démocratie Solidarité a été tellement réduit par des manœuvres d’obstruction parlementaire, comme on pouvait malheureusement s’y attendre, que l'examen du texte, démarré à 22h, n'a permis de discuter que de deux amendements et n'a pas permis d'adopter un texte avant minuit.
(amendements déclarés irrecevables) Le temps du débat sur la proposition de loi pour les animaux portée par le groupe Écologie Démocratie Solidarité a été tellement réduit par des manœuvres d’obstruction parlementaire, comme on pouvait malheureusement s’y attendre, que l'examen du texte, démarré à 22h, n'a permis de discuter que de deux amendements et n'a pas permis d'adopter un texte avant minuit.
Annonces positives mais qui ne sont encore suivies d’aucune transcription dans la loi, communiquées en contre-feux l'avant-veille de l'examen de la proposition de loi du groupe EDS à l’Assemblée.
Communiqué de presse du ministère de la Transition écologique :
Barbara Pompili annonce de nouvelles mesures en faveur de la faune sauvage captive :
Le ministère de la Transition écologique a engagé, au printemps 2019, un large cycle de consultations et de concertations paritaires avec des ONG, des représentants professionnels, des élus et des experts pour comprendre les enjeux attachés au respect des besoins physiologiques des animaux et au bien-être de la faune sauvage captive. Barbara Pompili détaille aujourd’hui les mesures phares prises suite à cette concertation.
[...]
Les élevages de visons pour la production de fourrure
Interdiction immédiate d’ouverture de nouveaux élevages de visons d’Amérique ;
Éradiquer la souffrance animale passe par une bifurcation du modèle agricole. Les fermes-usines sont le symbole de ce modèle mortifère dont les piliers sont la surproduction, la concentration et le gigantisme. Greenpeace en a identifié 4 413. Parmi celles-ci, 1 470 bénéficiaient de 48 millions d’euros d’aides de la politique agricole commune, dont 14 millions d’euros normalement dédiés à des mesures dites de «verdissement.
(extrait de l'Exposé sommaire)
Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 15 septembre 2020.
PROPOSITION DE LOI
visant à interdire la castration à vif des porcelets,
(Renvoyée à la commission des affaires économiques, à défaut de constitution d’une commission spéciale
dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.)
Sans vidéosurveillance ni droit de visite inopinée des parlementaires, il paraît difficile de s'assurer qu'une partie de ces subventions contribuera à réduire les souffrances des animaux dans les abattoirs
Dans les 100 milliards d’euros du plan de relance annoncé ce jeudi, il y en a aussi un peu pour les animaux. Une enveloppe de 250 millions d’euros doit servir à aider les éleveurs à sortir de l’élevage intensif, mais aussi à moderniser les abattoirs. (...) La transparence de la filière de l’abattage est un sujet bien plus sensible. Elle est souvent résumée à l’instauration de la vidéosurveillance en abattoirs, l’une des mesures fortes que proposait Olivier Falorni.
Notre pays est le théâtre d’actes de barbarie ignobles contre des équidés.
Dans un courrier aux ministres de l’intérieur & de l’agriculture rédigé par Martine Leguille-Balloy - Députée de Vendée, nous demandons la mise en œuvre de tous les moyens nécessaires pour faire cesser au plus vite cette série macabre !
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