le 3 mai 2018 -
Manifeste
→ Nationale
Le collectif de réponse proposée par Chassons.com
Alain Perea (Député REM), Marc Fesneau (Député Modem), Olivier Dassault (LR) Guy Harlé d’Ophove (FDC60), Timothée Gaget (Ecrivain), Guillaume Demarcq (avocat), Romain Lasseur (scientifique), Lorraine Thouery (avocate), Baudouin de Saint Leger (journaliste)
La chasse à courre apporte à la société un soutien solide aux politiques écologiques de gestion des populations animales et des espaces agricoles.
Avec une moyenne de 10 à 20 accidents de chasse mortels relevés chaque saison, la chasse n’est pas plus dangereuse que d’autres activités.
C’est une évidence prouvée, « un animal sauvage, pour qu’il le reste, doit être chassé » car, sans cela, il perdrait toutes ses qualités d’animal sauvage pour se transformer en animal domestique, d’où une très grande perte pour la biodiversité.
S’il s’agit d’un territoire public, par exemple une forêt domaniale, les territoires sont loués par les chasseurs auprès de l’Office National des Forets par des baux pluriannuels.
Pourtant, dès lors que l’on traite des animaux sauvages ou d’élevage, eux seuls [les végétariens] ont la parole. Tandis que les chasseurs français (1 million d’hommes et de femmes) qui passent leurs journées à observer la nature, comprendre l’évolution des espèces et réguler le gibier sauvage, n’ont pas accès à un micro.
Dans les années 70, la France comptait plus de 2,6 millions de chasseurs, plus du double de ce que nous sommes aujourd’hui. Il n’y a qu’un moyen d’agir face à cette situation : rendre la chasse plus accessible et plus attractive. La baisse du permis de chasser est donc une mesure de bon sens.
(extraits de l'article de chassons.com)
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