Chasse & pêche

Pour CPNT l'augmentation de la population de loups doit être drastiquement réduite

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l’autorisation d’élimination de loups et son quota, même si elle est nécessaire, ne sera pas suffisante car elle ne s’attaque qu’aux effets. Le vrai problème, c’est la prolifération et l’extension de la présence du loup sur le territoire français. Celles-ci doivent être drastiquement réduites
extrait de l'article de CPNT

Article de CPNT :

Loup : il est plus que temps pour l’État de défendre les droits des bergers !

Depuis longtemps, CPNT dénonce les conditions de travail dantesques des bergers et éleveurs en montagne comme en zones rurales de plaine, ainsi que les dégâts énormes causés par les grands prédateurs, dont les loups qui viennent remettre en cause l’existence même de cette activité traditionnelle et indispensable à la ruralité.

2014 n’échappe pas à la règle et les tueries de brebis par le loup se poursuivent. Le développement territorial est souvent remis en cause et parfois même totalement abandonné. Cette dégradation va crescendo, au même rythme que la pression exercée par quelques associations écologistes illuminées qui préfèrent voir la ruralité, et encore plus la montagne, comme un zoo à ciel ouvert que comme un espace de vie pour les communautés locales.

La République et l’État doivent d’urgence, alors que le temps est aussi à la discussion sur les conditions de travail, reconnaître et faire prendre en compte cette extrême pénibilité du pastoralisme. Il doit également reconnaître et prendre en compte les conséquences négatives de cette situation sur les familles, parents, conjointes et enfants qui subissent, pour certains, des traumatismes et des troubles importants.

Pour ce qui est des dégâts sur les troupeaux, certes, l’État a réagi avec un nouveau Plan Loup, mais bien timide faut-il le reconnaître : l’autorisation d’élimination de loups et son quota, même si elle est nécessaire, ne sera pas suffisante car elle ne s’attaque qu’aux effets. Le vrai problème, c’est la prolifération et l’extension de la présence du loup sur le territoire français. Celles-ci doivent être drastiquement réduites … tout comme l’influence manipulatrice et mensongère des quelques associations pro-loups !

De même, c’est un véritable droit à l’autodéfense des bergers et éleveurs qui doit être établi pour leur permettre, sans contraintes et inerties administratives, de protéger leurs troupeaux, leur gagne-pain ! Le loup est dangereux, pour les troupeaux comme pour l’Homme, il faut donc réagir avant la survenance de drames qui ne manqueront malheureusement pas d’arriver, l’État et les pro-loups en seront alors totalement responsables !

Car CPNT le rappelle : l’État doit assumer ses responsabilités, notamment celles prévues légalement par le Code Rural, dans l’article L 113-1. La loi, c’est la loi et l’illumination écologiste n’ouvre pas droit à exception !

Les droits des ruraux, qu’ils soient de plaine ou de montagne, qu’ils soient bergers ou autres usagers comme les chasseurs, doivent être reconnus, garantis, défendus, notamment contre la manipulation mensongère de l’écologie punitive qui, souvent avec la complicité de l’État, vient ajouter aux dégâts subis.

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Crédits

Soumis par Thierry Lherm

Sources

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