Mer & pisciculture

Sylvie Goddyn demande le rétablissement de la pêche des bars au chalut pélagique

Interpellez-le
Click & Tweet Click & Comment

Commentez directement sur sa page Facebook

Personnalité politique (1)

Question parlementaire

Pêche industrielle Européenne

Cette interdiction apparaît comme injuste et inefficace : la pêche au chalut pélagique représente seulement 25 % des prises
Sur le long terme, la Commission envisage-t-elle de mettre en œuvre des quotas de pêche sur le bar, accompagnés d'un plan de gestion pluriannuel, comme le demandent les pêcheurs?
Enfin, la Commission peut-elle rassurer les pêcheurs pélagiques en s'engageant à ce que l'interdiction temporaire ne soit pas renouvelée au-delà du mois d'avril?

extraits de la question

Question avec demande de réponse écrite à la Commission de Sylvie Goddyn :

Objet : Interdiction temporaire de la pêche au chalut pélagique du bar

Suite à une demande du Royaume-Uni, la Commission a interdit la pêche du bar au chalut pélagique, jusque fin avril, en Manche, mer Celtique et mer du Nord.

Cette interdiction apparaît comme injuste et inefficace: la pêche au chalut pélagique représente seulement 25 % des prises, tandis que les 75 % restants, non touchés par l'interdiction, sont constitués par la pêche de plaisance et d'autres types de pêche (ligne, chalut de fond, filet, etc.).

Il apparaît donc que la raréfaction des ressources ne peut être combattue sérieusement par une mesure discriminatoire qui ne touche que 25 % des prises.

Je pose donc les questions suivantes:

Sur le court terme, pour protéger le bar dans cette zone, la Commission envisage-t-elle d'étendre l'interdiction temporaire à tous les types de pêche?

Sur le long terme, la Commission envisage-t-elle de mettre en œuvre des quotas de pêche sur le bar, accompagnés d'un plan de gestion pluriannuel, comme le demandent les pêcheurs?

Enfin, la Commission peut-elle rassurer les pêcheurs pélagiques en s'engageant à ce que l'interdiction temporaire ne soit pas renouvelée au-delà du mois d'avril?

Lire la suite

Crédits

Soumis par Thierry Lherm

Partager cette prise de position

Attentes citoyennes

84%

des Français
se disent prêts à modifier et réduire leur consommation de poisson pour éviter la surpêche, la souffrance animale et les prises accessoires

Parcourir les sondages
90%

des sympathisants du centre
se disent prêts à modifier et réduire leur consommation de poisson pour éviter la surpêche, la souffrance animale et les prises accessoires

Parcourir les sondages