Benoît Hamon affirme que l’exécutif a autant cherché à répondre « au problème posé », qu’au « sort de l’image de la filière », qu’à la « crise de confiance des consommateurs » et qu’« au sort des salariés de Spanghero ».
(extrait de l'article deFrançois Vignal, Public Sénat)