Invité à s’exprimer, le député Michel Heinrich souligna d’emblée la baisse du nombre de pratiquants. « C’est un souci national. Il faut attirer les jeunes qui sont sensibles à la biodiversité. Dans les Vosges, vous menez des actions remarquables, alors qu’au niveau national, la fédération a parfaitement suivi le projet de loi. On est ainsi arrivé à obtenir quelques garanties pour les chasseurs. »
Voilà qui devrait mettre du baume au cœur aux 6 591 spécialistes vosgiens.
(extrait de l'article de Claude Girardet, Vosges-matin)