Élevage

AmendementCE41 visant à étendre aux foirails et aux marchés à bestiaux le droit de visite des abattoirs par les parlementaires

Félicitez-le
Click & Tweet Click & Comment

Commentez directement sur sa page Facebook

Personnalité politique (1)

Amendement

Nationale

De nombreux foirails ou marchés aux bestiaux sont municipalisés et il est nécessaire de demander une autorisation auprès du maire afin de se rendre sur place. La visite est donc subordonnée au bon vouloir de l’édile et son autorisation ou non peut-être liée à des motifs politiques qui n’ont pas à survenir dans le cadre de la protection du bien-être animal.
(extrait de l'Exposé sommaire)
Amendement tombé
La Proposition de loi de M. Olivier Falorni a été examinée par les députés en commission des affaires économiques le 14 décembre 2016 et sera discutée à l'Assemblée nationale en plénière le 12 janvier 2017, avant d'être examinée par le Sénat.

AMENDEMENT N°CE41

présenté par

M. Noguès
----------

ARTICLE 5

À l’alinéa 2 après le mot :

« abattoirs »,

insérer les mots :

« , les foirails et les marchés à bestiaux ».

EXPOSÉ SOMMAIRE

La question du transport est primordiale, notamment celle du transport d’animaux vivants longue durée et doit pouvoir faire l’objet de visites par des parlementaires à tout moment et de façon inopinée. En effet, de nombreux cas de maltraitance animale surviennent parce que le chargement n’a pas été bien effectué ou parce que le camion est surchargé. De nombreux foirails ou marchés aux bestiaux sont municipalisés et il est nécessaire de demander une autorisation auprès du maire afin de se rendre sur place. La visite est donc subordonnée au bon vouloir de l’édile et son autorisation ou non peut-être liée à des motifs politiques qui n’ont pas à survenir dans le cadre de la protection du bien-être animal. Cet amendement vise donc à élargir la possibilité de visiter un abattoir offerte aux parlementaires, accompagnés ou non d’un journaliste, aux foirails et marchés à bestiaux.

Lire la suite

Partager cette prise de position

Attentes citoyennes

44%

des Français
estiment que le « bien-être » des animaux de ferme n'est pas assuré aujourd'hui en France

Parcourir les sondages
84%

des Français
sont favorables à l’interdiction de l’élevage intensif

Parcourir les sondages