Élevage

Le ministre de l'Agriculture souhaite que les enfants mangent davantage de veau dans les cantines scolaires

Interpellez-le
Click & Tweet Click & Mail Click & Comment

Commentez directement sur sa page Facebook

Personnalité politique (1)

Parti politique (1)

Logo Renaissance
Renaissance

Dans les médias

Nationale

LE MINISTRE DE L'AGRICULTURE VEUT PLUS DE VIANDE DE JEUNE BOVIN DANS LES ASSIETTES DES ÉCOLIERS

Dans son appel, Julien Denormandie s'adresse tout particulièrement aux élus des régions ayant une tradition d'élevage de races à viande (Charolaise, Limousine...) dans un vaste périmètre "autour du Massif central".
Ni veau, ni boeuf, la viande de jeune bovin est trop peu consommée en France, regrette le ministre français de l'Agriculture: il appelle jeudi les gestionnaires de cantines scolaires à en commander pour soutenir les éleveurs bovins "en souffrance" et réduire leur dépendance à l'export.

"J'en appelle aux élus locaux pour faire le pari de cette viande de qualité et avoir le réflexe jeune bovin au moment où les menus des cantines sont établis", a déclaré le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation Julien Denormandie dans un entretien avec l'AFP.

[...]

Car, dit-il, s'approvisionner en jeune bovin produit localement, "c'est le moyen de faire vivre nos territoires avec une filière de la viande allaitante qui est en souffrance et pour laquelle on se bat tous les jours pour recréer de la valeur".
"Peu grasse", "c'est une viande particulièrement adaptée à nos enfants, à nos adolescents", plaide Julien Denormandie, qui note qu'on la trouve "dans beaucoup de cantines en Europe, mais pas chez nous".
Et il est "beaucoup plus rapide de changer nos habitudes dans les plats que nous servons dans les cantines que de changer l'habitude de 66 millions de consommateurs", fait-il valoir.
La restauration scolaire, ce sont 1,2 milliard de repas par an, souligne le ministre, de quoi "lancer une grande dynamique".
"C'est une filière qui pourrait être beaucoup plus développée avec de l'engraissement qui se ferait sur notre territoire plutôt que d'envoyer des broutards être engraissés dans d'autres pays comme en Italie", plaide le ministre.

(Extrait de l'article de BFMTV)

Lire la suite

Crédits

Soumis par Thierry Lherm

Partager cette prise de position

Attentes citoyennes

86%

des Français
estiment que l'abattage sans étourdissement préalable est inacceptable quelles que soient les circonstances

Parcourir les sondages
90%

des Français
sont favorables à la généralisation de la vidéosurveillance dans tous les abattoirs

Parcourir les sondages