Chasse & pêche

Jean-Paul Fournier demande à l'État de soutenir financièrement les associations de louveterie

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Personnalité politique (1)

Question parlementaire

Nationale

Sans être agents de l'État, ces lieutenants de louveterie agissent pour le bien de tous, dans le cadre d'une mission de service public commandée par le préfet. C'est pourquoi il lui demande dans quelle mesure l'État pourrait financièrement aider les associations de louveterie, pour permettre d'améliorer leurs actions. Plus largement, il l'invite à préciser la vision de l'État quant au devenir de la louveterie.
extrait de la question

Question parlementaire de Jean-Paul Fournier, sénateur du Gard :

M. Jean-Paul Fournier interroge Mme la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie quant à l'action de service public que réalisent les lieutenants de louveterie dans les départements, notamment ceux fortement impactés par la prolifération de certains nuisibles, comme le sanglier. Leurs interventions, à la demande du représentant de l'État, sont nécessaires pour des raisons de sécurité, mais aussi de biodiversité, puisqu'elles permettent de freiner la prolifération d'une espèce. Elles sont d'autant plus importantes que le nombre des chasseurs est en déclin et que leur âge moyen ne cesse de s'accroitre, réduisant ainsi leur capacité d'actions sur les territoires. Aujourd'hui, non seulement les lieutenants de louveterie interviennent de manière bénévole, mais les frais des prélèvements d'animaux (tenues, insignes, carburant, armes) sont à leur entière charge. En outre, les nuisibles pénétrant de plus en plus les zones urbaines, les lieutenant de louveterie doivent adapter leurs armements, par l'achat par exemple de carabine de chasse munies de silencieux, afin de pouvoir agir au plus près des habitations, sans pour autant déranger la tranquillité des particuliers. Sans être agents de l'État, ces lieutenants de louveterie agissent pour le bien de tous, dans le cadre d'une mission de service public commandée par le préfet. C'est pourquoi il lui demande dans quelle mesure l'État pourrait financièrement aider les associations de louveterie, pour permettre d'améliorer leurs actions. Plus largement, il l'invite à préciser la vision de l'État quant au devenir de la louveterie.

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Crédits

Soumis par Thierry Lherm

Sources

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