Élevage

Les ministres de l'Agriculture, de l'Intérieur et de la Justice se rendent au Salon International de l'Agriculture pour y défendre l'avenir de la cellule Demeter

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Protection des lanceurs d'alerte Nationale

Justification de la note

Cette opération de communication tend à faire oublier l'un des objectifs premiers de la création de la cellule Demeter : la prévention et le suivi des «actions de nature idéologique».

Trois ministres au chevet de Demeter

En présence d’Éric Dupont-Moretti, Gérald Darmanin et Julien Denormandie ont réaffirmé leur détermination à maintenir le dispositif de la gendarmerie Demeter contre les atteintes faites au monde agricole, à l’occasion d’un échange sur le stand de la MSA, lors du Salon de l’agriculture.

Ils sont arrivés en force ce 1er mars 2022, pour démontrer « l’engagement du gouvernement à l’égard du monde agricole », a souligné Julien Denormandie. Le ministre de l’Agriculture a convié, le 1er mars, les ministres Gérald Darmanin (Intérieur) et Éric Dupont-Moretti (Justice), ainsi que le général Christian Rodriguez, directeur général de la Gendarmerie nationale, sur le stand de la MSA pour échanger sur Demeter, le dispositif de la gendarmerie visant à lutter contre la délinquance sur les exploitations agricoles.

[...]

« La cellule Demeter restera », a affirmé d’emblée Gérald Darmanin. Lors d’une récente décision, le tribunal administratif de Paris a jugé qu’une partie des activités de la cellule était illégale. Après avoir dans un premier temps indiqué leur volonté de « préciser » les missions de la cellule, les ministres de l’Intérieur et de l’Agriculture ont fait appel de la décision.

« On doit laisser ceux qui nous nourrissent avoir la capacité de le faire »
« Nous faisons appel, parce qu’avec le ministre de l’Agriculture, nous pensons que nous avons raison, a expliqué Gérald Darmanin. Et si nous devions encore avoir tort du point de vue de la Justice, alors nous changerons quelques mots. Mais nous garderons bien évidemment les dispositifs de la gendarmerie qui aident les agriculteurs à vivre et travailler en toute sécurité. »

« Ce qui a été attaqué c’est le dossier de presse, a-t-il ajouté. Quelques mots ont dû gêner un certain nombre de personnes. Et le tribunal administratif a considéré qu’il fallait revoir les choses. On a fait appel. L’appel est suspensif, donc en attendant le dispositif continu. »

Julien Denormandie : « On doit laisser ceux qui nous nourrissent avoir la capacité de le faire. »

(Extrait de l'article de La France Agricole)

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