Tant qu’il y aura des abattoirs, il y aura des champs de bataille.
Léon Tolstoï (1828-1910)
Plus d’un milliard d’animaux terrestres sont abattus en France chaque année, principalement à des fins alimentaires.
Les poussins savent compter jusqu'à cinq. Les moutons peuvent mémoriser plus de cinquante visages pendant au moins deux ans et y distinguer différentes émotions. Les vaches éprouvent de l'excitation et de la joie lorsqu’elles résolvent un problème. Les cochons se reconnaissent individuellement. Joueurs et dotés d’une excellente mémoire spatiale, ils apprécient les ballons de football ou certains jeux vidéos. 88% des Français considèrent que la protection des animaux d’élevage devrait être renforcée(Commission européenne, Eurobaromètre 2016). →Mieux connaître l’opinion publique
Nous mettrons fin à tout élevage en cages au profit de l'élevage avec accès au plein air d'ici 2025, interdirons la création ou l’établissement de tout nouvel élevage intensif tout en réduisant d’au moins 50% la consommation de produits de provenance animale
(extrait du programme)
Pour @HeleneThouy , candidate à l'élection présidentielle pour le @PartiAnimaliste, "une minorité souhaite confisquer le débat public, soumettons la question de l'élevage intensif au référendum, nous verrons bien ce que décide le citoyen." #SIA2022pic.twitter.com/72aCQHHYMa
Positif mais nécessite d'être précisé par des mesures ou des moyens concrets
Je protégerai nos animaux
Lutter activement contre les trafics et mieux protéger les animaux en augmentant les moyens alloués à la protection et aux établissements animaliers
Mettre en place une politique de sensibilisation aux abandons d’animaux et permettre une meilleure gestion des adoptions Renforcer les contrôles pour maltraitance animale dans les abattoirs et élevages intensifs
Alourdir les sanctions pour les actes de maltraitance animale
Pas d'ambition explicite associée de freiner et faire reculer l'élevage intensif
Un plan de soutien pour l’agriculture biologique
L’agriculture biologique a beaucoup progressé dans notre pays ces dernières années. Elle traverse aujourd’hui une crise profonde liée à des problèmes de structuration de ses débouchés, aux marges excessives pratiquées par la grande distribution et à la concurrence déloyale d’importations issues de pays à très faible coût de main d’œuvre qui ne respectent pas toujours les normes françaises. Pour maintenir la production, assurer la succession des fermes en agriculture biologique touchées comme les autres filières par de nombreux
Proposition irréaliste tant qu'elle ne prend pas compte les travaux du CNRS
Une Europe bio et autosuffisante en 2050 c’est possible, selon le CNRS. [...] .Un scénario réaliste selon l’équipe de chercheurs à condition qu’il repose sur trois leviers. Le premier impliquerait un changement de régime alimentaire. « Nous préconisons un régime méditerranéen ou crétois, avec 30% d’apports protéiques d’origine animale et 70% d’apports protéiques d’origine végétale », explique Gilles Billen. « C’est le régime proposé par les diététiciens, avec des besoins de base de 3,5 kilos d’azote protéique par an par personne. Aujourd’hui nous sommes au double, nous consommons beaucoup trop de productions animales », poursuit-il.
Commentez directement sur leurs pages Facebook