Le mouvement de la ruralité (ex-Chasse, pêche, nature et traditions) agit contre les animaux

Comme chaque année, le président de CPNT, Frédéric Nihous, a été auditionné par le président du groupe Chasse UMP-Les Républicains de l'Assemblée nationale, Marc Laffineur entouré de plusieurs députés engagés sur le dossier chasse (...) pour agir concrètement et positivement pour la chasse. Un plan d'action et d'interpellation parlementaire sera rapidement mis en place.
La reconquête politique, régionale et nationale, passera aussi par la chasse et le règlement de ses dossiers problématiques !
(extraits du communiqué de CPNT)

Article de CPNT :

Invité le samedi 30 mai avec une importante délégation de CPNT où figuraient notamment les dirigeants Eddie Puyjalon, Erick Marolleau et Pascal Marie, au Congrès fondateur des Républicains en tant que président d'un parti partenaire, Frédéric Nihous, le président de CPNT, figurait sur la liste des intervenants.

Il y déclara aux Républicains le partenariat renouvelé et le compagnonnage de CPNT sur le chemin de la reconquête qui passera d'abord par les élections régionales puis l'objectif 2017.

Chasse traditionnelle au gluau : CPNT alerte ses alliés sénateurs de droite et du centre

Madame, Monsieur le Sénateur,
CPNT le Mouvement de la Ruralité a souhaité vous sensibiliser sur les fâcheuses conséquences de la première lecture du projet de loi sur la biodiversité qui vient de se dérouler à l’Assemblée nationale.
Une fois de plus, nous avons assisté à un acharnement anti chasse de la part des députés écologistes EELV et du rapporteur PS, Géneviève Gaillard, profitant que la majorité des parlementaires assuraient la campagne des élections départementales dans leur circonscription. Il est vrai que le tempo de l’inscription de ce débat, à quelques jours d’un scrutin si important, peut interroger sur les motivations animant le gouvernement…

Il faut aider à la régulation de la population des cormorans pour sauver cette économie rurale en danger », insiste Frédéric Nihous, président national de Chasse, pêche, nature et tradition (CPNT)
En 2015, les exploitants ont l’autorisation de tuer 850 oiseaux. Pas un de plus, car l’espèce est protégée. « Les autorisations de tirs ne suffisent plus, il faut permettre la destruction des nids », défend Marc Laffineur.
extrait de l'article de Ouest-France