le 20 juillet 2017 -
Communication officielle
→ Implication locale
La mise en œuvre de prélèvements au sein des Parcs nationaux, réalisés par les services de l’Etat, sous le contrôle de l’Administration des Parcs
La reconnaissance du droit permanent des éleveurs à protéger leurs troupeaux : Facilitation des tirs de défense renforcée et de prélèvement en fonction de la réalité des attaques
La prise en charge du budget de protection des troupeaux face à la prédation et d’indemnisation des bêtes tuées, par le budget de l’Environnement, et non par celui de l’Agriculture (le coût lié à la prédation en France était de 26 millions d’euros en 2016)
(extraits du communiqué de presse)
Les éleveurs n’entendent plus cohabiter avec la nature sauvage, y compris dans les espaces protégés. Si la cohabitation n’y est pas possible, ce ne sont pas les loups qu’il faut éloigner, mais bien les troupeaux ! Les Français, qui subventionnent à la fois l’élevage et les Parcs, demandent majoritairement des loups.
(communiqué de l'ASPAS du 15/07/2014)
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