le 8 février 2018 -
Question parlementaire
Il lui demande donc si une méthodologie d'identification des loups hybrides est mise en place et si ses résultats sont pris en compte pour l'établissement du plan loup.
Ces animaux, issus du croisement entre un loup et un chien, ne sont, en effet, pas protégés par la convention de Berne (...) et de ce fait, peuvent être prélevés sans qu'ils soient intégrés dans le calcul du quota national.
(extraits des questions)
Le Gouvernement a notamment répondu que «L'ONCFS constate par ailleurs que la seule observation visuelle ne permet pas de distinguer un loup d'un hybride» et que «sur 130 individus ayant pu faire l'objet d'analyses, le phénomène d'hybridation récente (première génération) concerne 1,5 % des individus ; 6 % sont concernés par de l'hybridation plus ancienne.Tous les autres, soit 92,5 % des individus analysés, sont des loups non hybridés».
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